Dans le flux incessant des aéroports
Paris, Charles de Gaulle, le 9 Juillet 2010, 18h46
2h de retard, 6h d'escale, 14h de vol, j'attends patiemment assise sur les fauteuils rouge de l'aéroport et je pense. Je pense à tout ce qui m'attends sur ce continent où j'ai déjà ramassé un paquet d'émotions, je pense à l'heure qu'il doit être à Santiago en ce moment même et à ce que font Mathilde et Véro déjà réunies après un an d'absence.
le 10 Juillet 2010, quelques heures avant l'atterrissage à Santiago del Chile.
J'aime pas la douane et si Lucile était là elle dirait "je trouve ça con la douane". Il faut toujours remplir des tonnes de paperasse et déclarer une multitude d'objets. Dans mon sac il n'y a qu'un paquet de madeleines saint Michel entamé, NADA MAS !
J'ai dormi 6h cette nuit, sans arret réveillée par les hurlements d'un gosse insupportable, les joies d'un vol longue distance !
Voilà que j'ai à présent la boule au ventre rien qu'à l'idée de revoir les filles. Un an c'est court, c'est long, c'est un peu tout à la fois, et les premières minutes de retrouvailles sont toujours les plus émouvantes. Et puis, ça n'est pas comme si je n'avais jamais pleuré dans cet aéroport ...
Je mettrais ma main à couper qu'il pleut à Santiago, comme toutes les fois où j'ai atterris sur le sol chilien.
Je prends mon pied !
2h de retard, 6h d'escale, 14h de vol, j'attends patiemment assise sur les fauteuils rouge de l'aéroport et je pense. Je pense à tout ce qui m'attends sur ce continent où j'ai déjà ramassé un paquet d'émotions, je pense à l'heure qu'il doit être à Santiago en ce moment même et à ce que font Mathilde et Véro déjà réunies après un an d'absence.
le 10 Juillet 2010, quelques heures avant l'atterrissage à Santiago del Chile.
J'aime pas la douane et si Lucile était là elle dirait "je trouve ça con la douane". Il faut toujours remplir des tonnes de paperasse et déclarer une multitude d'objets. Dans mon sac il n'y a qu'un paquet de madeleines saint Michel entamé, NADA MAS !
J'ai dormi 6h cette nuit, sans arret réveillée par les hurlements d'un gosse insupportable, les joies d'un vol longue distance !
Voilà que j'ai à présent la boule au ventre rien qu'à l'idée de revoir les filles. Un an c'est court, c'est long, c'est un peu tout à la fois, et les premières minutes de retrouvailles sont toujours les plus émouvantes. Et puis, ça n'est pas comme si je n'avais jamais pleuré dans cet aéroport ...
Je mettrais ma main à couper qu'il pleut à Santiago, comme toutes les fois où j'ai atterris sur le sol chilien.
Je prends mon pied !
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